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Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras

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Sineád Fawkes
Sineád Fawkes
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Dauntless
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Disponibilité RP: Oui
CharacterENREGISTRE(E) LE : 12/07/2014
ACTIONS : 73
STATUT CIVIL : Célibataire.
CREDIT : Tumblr pour l'image mais Mew pour la création.

MessageSujet: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty12/7/2014, 23:20


Fawkes, Sineád
© Mew
+ nom Fawkes. Cela signifie faucon. Peut-être est-ce celui-ci qui l'a destiné à faire partie des Audacieux. Qu'en pensez-vous ?  + prénom Sineád. Aujourd'hui, nous ne savons plus rien des légendes bibliques. Si nous les connaissions, nous saurions que ce prénom est lié à Dieu, en cela qu'il signifie "Dieu est miséricordieux". Elle a beau être suicidaire, Sineád semble immortelle. Ce qui explique à nouveau qu'elle fasse partie des Audacieux. C'est comme si le choix de son prénom lui avait promis la bonne étoile gardant toujours un œil sur elle, pour la protéger. + surnom  La demoiselle serait prête à vous donner un coup de poing en pleine figure si vous tentiez de lui donner un surnom quelconque. Elle déteste les sobriquets. Essayez donc. âge Elle a atteint les vingt-quatre étés il y a de cela quelques jours, le sept juillet pour être plus exactement. + faction d'origine Elle faisait partie d'une famille d’Érudits. Une famille qu'elle détestait, qu'elle trouvait lâche et elle ainsi bien contente de les avoir loin d'elle, depuis le temps. + faction prédestinée Elle était destinée aux Érudits et aux Audacieux. Une divergente bien malgré elle. Fort heureusement, la personne qui l'a détectée a accepté de garder cela secret. Néanmoins, elle garde cette phobie en elle, celle qu'on le découvre. Elle se montre discrète à sa manière, du coup, assez fonce-dedans. C'est ce qui lui a toujours réussi jusque ici et puis, quoi de plus naturel chez les Audacieux ? Et avec sa haine des Érudits, elle se contient assez facilement de se vanter de ses connaissances. Comme on dit, moins on a de connaissances, plus on l'étale telle de la confiture. Oui, c'est ce qu'elle pense des Érudits. + faction actuelle Elle a choisi et ce, sans hésitation, de rejoindre les Audacieux. + profession Nightingales, histoire de se servir réellement de toute sa rage et l'impulsivité qui bouillonnent en elle. + situation Célibataire. Elle ne cherche pas les ennuis ni avec les garçons. Ce serait une perte de temps ? Enfin, c'est ce qu'elle croit penser mais un garçon lui ferait peut-être bien du bien. + sexualité Hétérosexuelle et ce sans aucun doute. Les filles sont encore plus prises de tête que les gars, alors vous imaginez...


« Bang bang, he shot me down. »

S. a besoin de parler pour extérioriser + quand elle n'en a pas l'occasion ou qu'on ne lui autorise pas à le faire, elle a besoin de se défouler à travers le sport, la violence sur tout objet ou chose non vivante + elle a la phobie de l'isolement et des endroits confinés + elle a choisi la violence parce qu'elle n'a pas toujours su s'exprimer suite à un évènement, malheureusement, clé de sa vie + elle a peur de ne pas pouvoir protéger ceux qui ne savent pas le faire + plutôt ordonnée, c'est sa manière à elle de dominer, de tout diriger et d'avoir la main mise sur sa vie, elle refuse de laisser quoi que ce soit au hasard + elle est extrêmement loyale et surtout envers sa faction + elle est capable de tout pour sa faction + maladroite, surtout quand il s'agit d'être très gentille avec les autres, elle a plutôt tendance à donner une bonne tape ou à tenter un sourire discret mais au-delà de ça, elle est du genre catastrophique en relations humaines + elle est du genre perfectionniste + elle a du mal à faire réellement confiance mais une fois que c'est fait, elle partage tout avec vous néanmoins, si vous perdez sa confiance, faites gaffe à vos plumes.

feat. Lyndsy Fonseca


« Fear doesn't shut you down, it wakes you up. I've seen it. It's fascinating. »

+ Rang à l'initiation Sineád a atteint la première place durant son année d’Initiation, c'est-à-dire, en deux-mille-deux-cent-septante-deux. + Peurs Sineád a dû et su faire face à sa peur de l'isolement, surtout le rejet de sa nouvelle faction, du confinement, d'être littéralement sans force, sans moyen de défendre et de se défendre, celle aussi d'être battue, celle du feu et finalement celle de manquer de jugeote, d'esprit critique, de se laisser simplement aller à la violence pour la violence, sans doute est-ce lié au peu d'esprit critique inné des Érudits.+ Forces Vive d'esprit, Sineád a un temps de réaction très court, ce qui lui permet de réagir au quart de tour lors d'un combat. Agile, tel un félin, elle sait se faufiler un peu partout avec facilité, notamment aussi grâce à sa grande souplesse. C'est ce qui lui permet d'éviter bien des obstacles, sans faire de bruit et fait d'elle une bonne Nightingales. Rusée, ou plutôt habituée aux tactiques, elle a de l'ingéniosité dans la tête. Courageuse, elle fuit rarement face au danger. Elle est également rapide. Tout ça grâce à sa physionomie, par ailleurs. Elle a réussi également à dominer son impulsivité avec les années. + Faiblesses Sa faiblesse principale, c'est sans doute son manque de carrure même si la carrure ne fait pas tout, si vous voulez son avis. La preuve, ceux qui sont trop musclés ou énormes ne savent pas se mouvoir de la même façon qu'elle. Peut-être aussi sa peur de tuer sans raison, son côté Érudit peut-être bien, ou alors est-ce simplement dans sa nature ? On ne sait jamais ce que peuvent nous cacher les Érudits.
+ Quelle est ta plus grande peur ? Sa peur la plus secrète mais qui la bouffe encore de l'intérieur, c'est celle de l'isolement. Sa plus grande peur est celle de ne pouvoir protéger les plus faibles, ce qui fait d'elle une pure Audacieuse. + + Quel est ton plus grand désir ? Elle désire avant tout rester à jamais chez les Audacieux, qu'elle soit leader ou non. En fait, elle ne rêve pas trop de devenir leader. Ce serait trop de prise de tête alors qu'elle préfère aider la ville et les nouveaux Audacieux de cette « petite » place. + Quelle est l'opinion de votre personnage sur la politique mise en place par les Altruistes ? D'une certaine manière, elle se dit que les Altruistes n'ont aucun intérêt à être au sommet du pouvoir puisqu'ils partent du principe qu'ils vivent pour les autres et non pour eux. Seulement, elle part du principe que si tous les leaders étaient à ce fameux sommet, tout le monde aurait la même puissance, la même importance de voix, le même pourcentage pour ainsi dire. De plus, cela éviterait une nouvelle dictature quelle qu'elle soit. Qui peut promettre qu'un Altruiste ne cherchera pas, tôt ou tard, à imposer sa vision des choses. Une dictature, quelle qu'elle soit, reste une dictature. Les ambassadeurs prendraient la place des leaders actuelle comme ça, leur aide, le fait de trancher pourrait être encore plus important. Un ambassadeur n'est pas forcément toujours d'accord avec son leader ou en tout cas pas sur tous les points. Pour ce qui est des Sans-Factions, elle trouve ça normal qu'ils aient un tant soi peu de moyens, de biens, de nourriture et d'attention, même s'ils sont de côté. Certes, elle serait la moins bien placée pour s'en occuper volontairement, vu ses problèmes, mais elle trouve ça bien que d'autres s'en chargent. Elle ne critiquera jamais les Altruistes pour ça, jamais. Elle considère les Sans-Factions comme des êtres à part entière. Seulement, c'est quelque chose qu'elle ne répète pas souvent, voire jamais, en fait. + Que pensez-vous des récentes attaques perpétrées par les Sans-Factions ? Elle part du principe qu'elle ne risque pas grand-chose puisqu'elle ne leur crée aucun tort. Puisqu'elle a le sens critique, elle ne se voit pas tuer n'importe qui. Elle n'est pas du genre à dialoguer plus que ça non plus, trouvant que les gestes sont plus explicites, mais elle se dit qu'ils peuvent eux aussi être défendus si un Érudit ou un quelconque membre de Faction quelle qu'elle soit se permet de le malmener. + Te sens-tu impliqué(e) dans la vie politique de ta faction ?   Sineád respecte Soren Haynes plus qu'elle ne le craint, même si parce qu'elle a ce souci de « divergence » elle reste à l'affût. Elle le trouve juste et son esprit de solidarité et sa loyauté envers et contre tout pour sa faction lui donne foi et confiance en lui. Elle ne doute pas un instant qu'il mène à bien les Audacieux et ce encore longtemps. Il a été un bon mentor, à sa manière, puisqu'il a des limites, pour Sineád lors de son Initiation et ce de la même façon qu'avec n'importe quel autre Audacieux lors de cette période. Elle ne cherche pas à le remplacer en tant que leader, ce qui explique sans aucun doute son détachement, d'une certaine manière, vis-à-vis de lui et du poste qu'il occupe. Toujours entreprenante, pleine de bonnes idées, motivée et courageuse, elle n'hésite pas à lui montrer qu'elle est fière d'avoir rejoint sa faction. Elle espère qu'il la voit comme une bonne Nightingale, non pas par pur narcissisme mais bien parce qu'elle veut et espère bien défendre la Cité.  



« You chose us. Now we have to choose you. »

+ pseudo Mew, Muwvy, nouvelle sadique (par rapport à mes personnages) et encore plein d'autres.  + âge J'ai vingt-et-un hivers. + comment avez vous découvert le forum ? Une amie a découvert votre forum hier, elle a zieuté jusqu'à ce qu'il ouvre, m'en a informé tout à l'heure et m'a dit « laisse-toi aller à ta folie, tu craqueras de toute façon, je le sais. » ! + comment le trouvez vous ? J'apprécie le design clair, propre, assez joyeux, ce qui est pratique pour l'été et ça a l'air assez clair même s'il m'arrive d'oublier où trouver telle information, mais ça c'est parce que mon cerveau me lâche. + code du règlement Code validé par Rorschach. + d'où viens-tu ? Du même pays que Ror' alias Quentin, mais ça a déjà dû se voir puisque j'ai écrit « septante-deux » et non « soixante-douze ». ♥   + que fais tu ? Je fais des études en institutrice primaire. J'écris beaucoup, même en dehors des forums. Je nage, j'aime nager. Je fais beaucoup de sport parce que je suis une foutue stressée de la vie qui a besoin de se dépenser. Je m'occupe d'enfants chez les guides. Je cuisine, j'aime cuisiner, surtout des pâtisseries. J'aime aussi me cosplayer ou sortir tout simplement avec ceux et celles que j'adore. Je rencontre des gens, c'est une activité, je vous jure ! J'aime rencontrer des gens, tout plein. Je regarde des séries, tout plein de séries, que des séries et des films. Fringe, OUAT, GoT, Reign et plein d'autres pour les séries, HP, Divergent, HG et encore tant d'autres pour les films.  + mon personnage est un Inventé. + combien de mot/ligne fais tu par RP ? Entre 500, 1000, parfois au-delà, ça dépend de mon imagination. + un dernier mot ? I love panda parce que c'est mon totem. Sinon, un jour, je serai la reine des pâtisseries et je ne prendrai pas un gramme en en mangeant. Vous avez compris ?


Lyndsy Fonseca Sineád Fawkes
TUMBLR

Sineád Fawkes
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty12/7/2014, 23:28

Once Upon a Time


« Bienvenue à toi, petit ange. » j'entendais la voix de mon père et celle de ma mère en unisson pour la première fois de mon assez courte vie. Vie que j'espère la plus longue possible, soit dit en passant. Vous croyez que je m'en souviens ? J'ai beau être née dans une famille d’érudits et avoir la mémoire de ceux-ci, cela ne fait en rien de moi quelqu'un d'extraordinaire. L'être humain n'a la capacité d'emmagasiner des souvenirs qui perdurent le restant de sa vie qu'à partir de deux ou trois ans, dit-on. Alors, forcément, non, je ne m'en souviens pas. Oui, cette connaissance est malheureusement un relent de ma faction d'origine. Je n'en suis pas franchement fière, même si, je dois l'avouer, j'ai une certaine soif de connaissance, sans doute plus parce que je veux connaître les raisons d'un agissement plutôt que parce que je veux collectionner des savoirs. Cela me distingue de beaucoup des Érudits actuels. Je suis en train de digresser, je sais. Soit, revenons-en à nos moutons. Oui, vous savez, les moutons qui plongent et sautent dans nos rêves. Comment ça je m'éparpille de plus en plus ? J'ai trop de choses dans la tête, c'est pour ça. Tout ça pour dire que ces mots furent les premiers prononcés par ce couple qui venait tout juste de me donner naissance. J'étais et je fus leur unique enfant. Ils avaient bien trop à gérer avec une seule enfant dans mon genre. Ils semblaient merveilleux, adorables, aimants et presque parfaits. Pourtant, je vous le dis en toute franchise, ils sont aussi effrayants que la majorité des Érudits. Ils se croyaient supérieurs en tout point des autres à cause de leur soif de connaissance mais ils avaient aussi et surtout de sacrées déviances. Personne n'en a jamais rien su et personne n'en sait rien actuellement. Sans doute que tant que je ne les dénoncerai pas, peut-être le ferais-je un jour via les journaux, cela restera un secret de famille malheureusement bien trop gardé.

La première fois que c'est arrivé, j'avais tout juste dix ans. Je n'étais même pas encore pubère, c'est vous dire. Ce jour-là, je rentrais d'une journée de cours. Il devait être quatre heures peut-être. Le temps de ranger mes affaires, de prendre le Skytran du Faction Center à ce qui était alors chez moi, du temps où j'étais chez les Érudits, dans le Southern Mind. Le soleil tapait juste ce qu'il fallait et j'avais soif. Plutôt fatiguée, épuisée par les cours, j'avais été me chercher un verre d'eau pour ensuite m'allonger dans ma chambre. Normalement, je devais être seule. Apparemment, je ne l'étais pas. J'entendis des bruits de pas venant de ce qui faisait office de salon. Je reconnus rapidement le pas lourd et sans hésitation, aucune hésitation dans sa façon de marcher, de mon père. Ma mère m'avait bien dit qu'il était malade et qu'il avait été au centre hospitalier. Seulement, je n'avais pas fait le lien entre ce détail et le fait que je ne serais pas seule. Alors, forcément, je n'avais pas pris la peine de le saluer. Quand il atteignit le seuil de ma porte, il ne prit pas la peine de toquer. Il entra et sembla comme ailleurs. Un peu... bizarre. Il n'était en rien dans son état normal. Ce que je ne savais pas à cette époque, c'était qu'il recevait très souvent ce médicament, lorsqu'il allait à l'hôpital. Ce que je ne savais pas non plus, c'était que mon père était colérique, peut-être un peu trop et extrêmement violent. Pour un Érudit, ce n'était pas une bonne chose. Du coup, quand il avait de trop grosses crises, comme la veille de ce jour-là, il recevait une plus grande dose. « Un jour, tu en guériras. » lui répétaient alors sans cesse ma mère et un collègue à celle-ci et ami commun de mes parents.

[ ! NC - 16 ! ]

Puisqu'il en avait pris bien trop, il n'était effectivement pas dans son état normal. Il n'était pas en état du tout, en fait. Il aurait dû rester à l'hôpital, mais il en était parti, avec accord. Il avait besoin de se défouler, besoin de s'occuper. Ce qui devait le calmer le rendait encore plus violent et ce comme s'il avait bu quelques verres de trop ou de la drogue. Rien de joli. Ce jour-là, cet après-midi là, je ne vis plus mon père de la même manière. Lui non plus, si vous voulez mon avis. Sans un mot, il me jeta à terre, de sa force d'homme musclé, et me déshabilla sans la moindre difficulté, sans le moindre ménagement. Je ne savais pas ce qu'il se passait. Je ne savais pas ce qu'il avait dans la tête. J'ai bien cherché à me débattre, à lui rappeler qu'une fille ne devait pas être nue de cette façon, même devant ses parents mais en vain. « Papa... Papa... » hurlais-je quand il ne m'étouffait pas pour éviter qu'on m'entende. « Papa... Papa... » disais-je dans de nombreux sanglots que je ne cherchais même pas à étouffer. Des larmes, une douleur incommensurable, des brûlures jusque là inconnues et qui auraient dû l'être jusqu'à ce que j’atteigne l'âge d'en avoir envie, des coups, des coups de poing, des coups de pied mais également des coups d'un genre tout autre. Après quoi, je saignai. Je saignai jusqu'à en devenir inconsciente. « Pourquoi... » fut le seul mot que je parvins à sortir avant le trou noir. Qu'avais-je donc fait pour mériter un tel acharnement ? N'étais-je pas suffisamment sage ? Avais-je fait une si grosse bêtise que même mon père devait se fâcher de la sorte ? J'ai pourtant appris que ce genre de choses ne se font pas. Alors pourquoi le fait-il ? C'était à n'y rien comprendre pour la petite fille que j'étais à cet âge-là et je m'en rongeais de l'intérieur. Encore maintenant, je me demande si cela a un sens, même si ma raison me pousse à croire que non.

Je venais de perdre ce qui fait d'un enfant un enfant, c'est-à-dire, mon innocence. Je n'avais pas dû attendre d'être en âge d'avoir mes règles pour saigner la toute première fois. C'était une chose malsaine et perturbante. Pendant plusieurs jours, je ressemblais plus à un zombie ou une poupée dont on ne s'occupe plus ou mal qu'à une fille qui devait encore être en âge de s'émerveiller de tout et de rien. Je n'avais plus rien de tout cela. J'eus beaucoup de fièvre au début, pendant environ quatre jour ou cinq peut-être, ce n'est pas un détail très important pour moi, je dois l'avouer. Je vomissais sans cesse, si bien qu'on crut d'abord à une simple gastrite. Comment tout cela fut masqué et transformé en simple inflammation des parois de l'estomac ? Ma mère travaillait à l'hôpital en tant qu'infirmière et sut rapidement comment masquer tout cela. « Il ne faut pas en vouloir à ton père, d'accord, ma chérie ? Il était un peu... nerveux mais il ne te voulait certainement aucun mal. » m'avoua platement et pathétiquement ma mère qui semblait à la fois morte de peur et persuadée de ce qu'elle me disait. « Cela restera notre secret, tu veux bien, Sineád, n'est-ce pas ? Si c'est pour faire plaisir à maman. » pourquoi me demandait-elle de cacher mes douleurs ? Pourquoi ne pouvais-je parler de cela à un autre adulte, j'en avais envie, j'en avais besoin. J'aurais eu besoin de conseils, d'une main tendue dans ma direction, ce jour-là. J'aurais dû être défendue comme ceux que je défends actuellement. Malheureusement, je me laissai entraîner et amadouer par ses belles paroles qui me semblaient plus rassurantes que dotées d'une quelconque logique mais à cet âge-là encore, les mots des parents semblent toujours ceux de la vérité absolue.

Les années passèrent et malheureusement pour moi, cette déviance qu'avait goûtée mon père lui plut, je ne sais pourquoi ni ce qui l'attirait là-dedans, au fond, je savais seulement qu'avec le temps, une force appelée « l'instinct de survie » me pousserait à faire tout ce qui était en mon pouvoir pour tenir la tête hors de l'eau et, qui sait, un jour m'extraire de son fanatisme pervers. Il reprit tout le temps, en tout cas souvent, mais un souvent qui me semblait être quotidien, si vous voulez savoir. J'avais peur de rentrer chez moi. J'avais peur de subir encore et encore des coups. D'ailleurs, lorsqu'il ne donnait pas de coup ni ne se montrait trop violent, il se mettait à me parler comme s'il avait avec lui sa chère et tendre. Je n'étais pas destinée à entendre de sa bouche ces mots-là. Il m'y obligea tout de même. Pas une fois, il n'eut la pitié de m'endormir pour que je n'entende ni ses mots ni ses cris. Je devais subir, tout simplement. J'étais un punchingball, voilà tout. Ma mère, qui croyait très faiblement qu'il arrêterait de lui-même et surtout après la première fois, se voilait la face au quotidien. Si vous lui demandiez comment cela se passait à la maison, elle vous répondait que je suivais correctement mes études, que j'étais disciplinée bien que souvent dans les nuages, d'où mon manque de sociabilité, que mon père guérissait un peu plus chaque jour et que tout était pour le mieux. C'était un mensonge. Quand j'y repense, je n'ai jamais arrêté de la détester, ça s'empirait même de jour en jour. Je haïssais mon père pour ce qu'il me faisait subir et ma mère pour sa lâcheté, pour son manque de courage. Jamais elle ne me défendait. Elle avait bien trop peur de lui. Alors, elle était un peu complice de ce qu'il me faisait subir. Qu'est-ce le pire ? Ce qu'il m'a fait ou ce qu'elle n'a jamais fait ? Vous comprenez pourquoi je trouve injuste le fait qu'on ne lève pas le petit doigt ? Vous comprenez pourquoi je me rapproche plus des Audacieux ?

Petit à petit, donc, je parvins à m'embrigader derrière une carapace suffisamment solide que pour éviter de subir davantage d’obscénités de ce genre de la part de mon père. Oui, il y parvenait encore, de temps à autre, mais il voyait bien qu'il perdait sa proie au fur et à mesure. Je rêvais de plus en plus aux Audacieux qui me semblaient forts, courageux et donc tout le contraire de mes parents. Je rêvais dès lors de pouvoir me défendre de la sorte, ne pas être aussi lâche et faible que ceux-ci et j'aspirais à pouvoir défendre tous ceux qui, comme moi, subissaient des injustices qui peuvent vous casser. Oui, j'ai déprimé longtemps, très longtemps même. Pourtant, je me suis dit que baisser les bras ne servirait à rien. J'ai su, malgré les obstacles et défis de la vie, me relever au moment le plus opportun. D'ailleurs, c'est à cette période-là que je découvris le fameux test d'aptitude, à l'âge de dix-huit ans. J'étais excitée mais cela ne se voyait pas de l'extérieur. En fait, j'attendais ce jour plus que quiconque, je crois. En tout cas, je le pense assez orgueilleusement. Peut-on me le reprocher, sincèrement ? Si un Sincère voulait bien répondre à l'instant, ce serait vraiment amical ou Fraternel de votre part, en fait. Soyez un peu Altruiste, je vous prie... Je passai donc mon test avec brio. Je n'eus qu'une bonne réponse, celle d'être faite pour les Audacieux.

Je n'étais donc pas destinée à rejoindre les Érudits mais bien les Audacieux. Ma raison me poussa à suivre le chemin des Audacieux, comme me le proposa le test. Pourquoi ? Parce que si j'avais appris quelque chose chez les Érudits, c'était que ce genre de situations n'était pas normal et pas anodin et de ce fait que si je voulais survivre, il fallait que je m'éloigne de ça. De plus, les Audacieux, je les observais tellement que j'avais le sentiment de déjà en faire partie. Puisque j'avais su démontrer que je n'étais pas lâche et que j'avais su me relever malgré toutes ces difficultés, j'avais le droit de prétendre à devenir l'un d'entre eux. Je n'avais par ailleurs aucun remords à quitter mes parents. Je les haïssais. Je haïssais tous les Érudits à cause de leur traitement infâme et la lâcheté des « connaisseurs » de taire tout ce qui les dérangeait. Lorsque vint le jour de la Cérémonie du choix, je n'attendais que ça, entendre mon prénom et mon nom pour rejoindre l'estrade et ainsi confirmer officiellement mon choix. « Audacieuse ! » cria le maître de la cérémonie alors que je versai de mon sang dans la coupe des Audacieux, ayant pour contenu des charbons ardents. Je me retournai fièrement, affichant un grand et large sourire en direction de l'assemblée mais surtout de mes futurs nouveaux compagnons. Oui, j'étais heureuse, enfin ! J'allais pouvoir les quitter pour de bon. Je suivis alors ma nouvelle et unique faction en courant et en rejoignant des Skytrans avant de descendre la paroi rocheuse jusque deux-cents mètre plus bas pour rejoindre le siège des Audacieux. Là, je prends une grande bouffée d'air, je me présente et je me dis que le premier cap est enfin passé. Ce n'est pas rien, entre nous. Quelques-uns ont déjà craqué ou sont tombés à force de trembler. Je fais face, alors, à la dure réalité mais je sers les dents et m'obstine malgré tout. Je le peux !

Je découvris alors la vie de tous les jours des Audacieux en, environ, une heure ou deux à visiter les lieux. En fait, je dis que j'ai découvert la vie de tous les jours à ce moment-là, mais c'était plutôt la découverte des lieux qu'ils utilisent et dans quelles circonstances. J'appris aussi à oublier mon ancienne faction, ce qui ne fut pas franchement difficile pour moi, et à m'habituer à cette vie à cent à l'heure de ceux dont je veux faire partie. Le lendemain, aux aurores, après avoir été sympathiquement accueillie, bien qu'à la manière typique de ma faction, je découvris une autre réalité ; l'Initiation. Ce fut une autre paire de manches. Le test de confrontation à nos peurs fut presque sans difficulté. Forcément, je ne parvins pas en un claquement de doigt à vaincre mes peurs, néanmoins, je fus tenace et j'y parvins plutôt rapidement. Je dépassai même quelques natifs. Peut-être parce que ce que j'avais vécu m'avait poussé plus tôt que d'autres à faire face à mes peurs et à dépasser ce rôle de victime. Mon corps semblait vouloir, par annihilation, faire abstraction de ce mauvais penchant. Parce que oui, pour moi, c'était tout bonnement un mauvais penchant que d'être proche, d'un point de vue cérébrale, de cette faction. Le jour de l'examen, la jeune femme que j'étais devenue était plus sûre d'elle, moins craintive. Au fond, je n'avais plus peur d'être touchée par qui que ce soit. Si l'on cherchait à me charrier, ce n'était pas bien compliqué, je rendais les coups. Je n'avais pas peur. Loin de là. Peut-être seulement celle d'être abandonnée ? Lorsque je passai donc l'examen face à notre leader et aux autres membres de ma faction, je n'eus plus de difficulté et fut même applaudie. J'avais fait un exploit pour un transfert. N'est-ce pas une bonne façon de me faire remarquer ?

Désormais, la seule chose que j'avais en tête, c'était de réussir parmi les trois premiers au moins. J'étais déterminée à être une Audacieuse reconnue et à montrer à mes parents que je n'étais pas comme eux. J'allais prouver que je valais quelque chose, à ma manière. Je n'avais plus peur d'eux, je les haïssais, simplement. Pour l'étape plus physique, je n'eus pas trop de mal. Déjà parmi les Érudits, il m'arrivait de me bagarrer avec les « miens » quand je n'étais pas d'accord. Forcément, je ne pouvais parler de ce que je subissais chez moi, alors c'était ma façon d'extérioriser. Depuis que j'étais chez les Audacieux, néanmoins, j'avais cette possibilité de parler puisque j'avais pu dépasser cette peur. Oui, vraiment, les Audacieux m'allaient comme un gant. J'étais devenue drôlement compétitive non pas pour être acclamée ou crainte mais parce que je voulais être de ceux qui choisissent leur voie pour une fois dans ma vie. Jusque là, j'avais dû subir ce que les autres m'imposaient. Maintenant, ça allait changer. J'étais persuadée que si je pouvais choisir, en devenant une Nightingale, un membre d’Élite, j'allais pouvoir défendre au mieux la Cité, sa paix et la sécurité de Soren Haynes. On pouvait voir dans mon regard une étincelle brûler, à l'instar des charbons ardents qui représentent les Audacieux. Ce n'était pas toujours évident puisque j'avais parfois face à moi des brutes épaisses, mais mon agilité et ma ruse me permettaient de les battre à leur propre jeu : celui de la lourdeur de leur musculature. On me voyait comme une fille et ce n'est jamais utilisé à bon escient chez les Audacieux. Alors quand j'écrasais des mâles un peu trop fiers, je décochais toujours un sourire narquois avant de leur lancer fièrement : « Alors, comment on se sent après s'être fait battre par une « femelle » ? » comme ils aimaient me traiter. Ils ne savaient pas que ma fierté était parfois aussi grande que la leur.

Un soir, un des nombreux soirs où nous avions quartier libre, je m'étais décidée à me faire un tatouage, mais pas n'importe lequel : un papillon entre les deux omoplates. C'était le symbole, à travers la chenille qui se change en papillon après avoir été plongé dans un cocon, du renouveau. La chenille, à l'instar de moi plus petite, n'a pas énormément d'échappatoires. Il est faible et facilement rattrapable. Alors que le papillon, à l'aide de ses ailes, peut fuir l'ennemi le plus redoutable sur deux jambes. De plus, petit et agile, il se glisse où il le désire. Je me retrouvais beaucoup dans ce tatouage mais je garde ce secret pour moi. Personne ne connaît mon passé et donc la signification de cette marque pour moi. Arriva alors le dernier jour, celui de l'examen final. J'avais peu, mais vraiment peu dormi cette nuit-là. On nous réveilla pourtant très tôt, ce devait encore être la nuit, je crois bien. Je me retrouvai avec des initiés qui n'avaient pas forcément la même carrure que moi ou la même façon de voir les missions mais au fond, nous étions complémentaires. Si j'avais dans l'idée de repérer d'éventuels pièges, parce que nous ne trouvâmes pas le chemin le plus simple, celui sans embûches, d'autres profitaient de cette idée pour trouver un moyen de les éviter ou de les éliminer. Par moments, nous courrions à deux, les deux filles du groupe, et profitions de cette vitesse pour éviter les pièges qui pouvaient l'être de cette façon. La solidarité et la complémentarité nous aidèrent énormément. « Félicitations ! » nous cria une voix. L'otage en question. Nous fûmes les premiers à trouver l'otage, grâce à notre fonctionnement de groupe. Ce n'était pas rien. Sincèrement, j'en fus fière et pour seule réponse, je donnai une tape dans le dos ou dans la main de mes coéquipiers. Petit à petit, ils apprenaient à me respecter, moi l’Érudite à l'allure fragile mais bien monstrueuse quand elle le souhaite.

Au fond, je crois que si j'avais toujours rêvé d'être une Nightingale, je n'avais jamais été devant le fait accompli. Fallait-il que je le tente vraiment, finalement ? J'aurais pu refuser, j'aurais pu baisser les bras avant même d'avoir essayé pour m'assurer de ne pas rejoindre les Sans-Factions, mais suicidaire dans l'âme, je me montrai une fois de plus tenace. On m'accorda du repos avant d'entamer la formation en question. Si j'avais trouvé l'Initiation parfois éprouvante, elle n'était rien comparée aux attentes pour devenir un membre de cette Élite : énormément d'endurance. Heureusement, j'étais une fille qui en avait à revendre. Je peux dire que les horreurs de mon père m'ont bien aidée à tenir le coup et ce coûte que coûte. Peut-être devrais-je le remercier, un jour ? Suis-je cynique ? À peine. Personne ne me voyait franchir le cap, une fois de plus. Au fond, pendant un instant, j'en doutai également. J'avais souvent affaire à des remarques machistes, de nouveau. Il faut dire que la majorité de ceux qui se présentaient pour le devenir était composée d'hommes. Peut-être était-ce aussi parce que j'étais différente et poussée à montrer cette différence que j'ai persisté. Plus on me dit que c'est dangereux, plus je fonce. Je devais leur prouver qu'une fille en était capable. Je devais montrer que même chez les Audacieux, une fille pouvait faire partie de l’Élite. Si je ne visais pas le poste de leader, je voulais au moins celui-là. Je voulais me rendre utile, être une véritable combattante pour la paix de la Cité, la protection de Soren et pour les Audacieux. Quand je ne m'entraînais pas, je prenais à peine le temps de manger pour me reposer le reste du temps. Il fallait que je tienne le coup, après tout.

J'apprenais lors de cette formation à faire preuve de sang-froid, ayant déjà calmé, et de loin, mon impulsivité. J'appris surtout à tenir le coup, à augmenter ma vivacité d'esprit et de mouvement et à améliorer encore mes points forts dont l'agilité, la ruse et la rapidité. Un jour, j'y parvins à la surprise de beaucoup sauf peut-être de ceux qui avaient participé de près ou de loin à ma formation. Si je gagnai le respect de ceux qui doutaient encore de mes capacités malgré quelques grandes qualités ayant vu le jour de mes défauts de base, dont le sang-froid et la confiance en les lois de ses aînés, j'étais aussi appréciée pour ce que j'étais. S'il m'était arrivé d'avoir peur de faire face à des décisions purement arbitraires, sans foi ni loi, de mes aînés, je compris que notre leader savait faire respecter son raisonnement, qui me semblait juste, avant toute chose. J'avais mûri avec le temps, aussi. Je m'étais déjà assagie sans en oublier le besoin de me défouler tout de même. Je m'étais d'autant plus rapprochée de ceux qui m'avaient soutenue et ceux qui avaient passé la même formation que moi pour devenir Nightingale. Je pouvais rire, oublier mes ennuis passés. Je ne pleurais plus à cause de ce que j'avais subi et je ne faisais presque plus aucun cauchemar vis-à-vis de ça. Cette peur ne me paralysait plus le moins du monde. Désormais, avec cette preuve supplémentaire, j'avais envie de montrer que je ne suis pas celle qu'on peut malmener.

Avec les années qui passèrent, je prenais de plus en plus goût à mon poste ; je papotais et échangeais beaucoup avec les autres Nightingales même si je n'étais pas forcément appréciée de tous. On ne peut être apprécié de tout le monde, c'est impossible. Toujours ponctuelle, prête à démordre, prête à me montrer courageuse, j'étais là où était ma place. Il m'arrive encore de me chamailler avec l'un ou l'autre comme il m'arrive d'en sermonner un au passage à cause de son retard mais au fond, je suis quelqu'un de généreux, quelqu'un qui écoute facilement l'autre et qui est parfois un poil trop protecteur. Mais qui pourrait m'en vouloir en sachant ce que j'ai vécu ? Le hic, c'est que personne ne le sait. Vous le savez déjà ? Je sais ! Toujours apte à la plaisanterie, il m'arrive pourtant encore d'avoir des difficultés avec les autres, maladroite que je suis. Je suis encore plus maladroite si l'on ose m'annoncer que machin ou truc me regarde avec des yeux doux. Je ne suis pas faite pour les sentiments. À moins que ? C'est toi qui toques à la porte, prince charmant ? Ah non, c'est encore un crétin qui veut s'éclater à une heure très tardive alors que je ne bosse pas, pour une fois.
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty12/7/2014, 23:47

lyndsy + ancienne erudite, devenue audacieuse Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3677991489 il nous faudra un lien Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 4097995770
bienvenue à toi & amuse toi bien Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 1266171893
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty12/7/2014, 23:51

Ce "Gabriella Laplusbelle Wilde" je l'ai déjà vu quelque part mais ma mémoire flanche et tout, donc je ne pourrais pas dire où. Ainsi que ton pseudo...  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3677991489 
Sinon, merci beaucoup et avec plaisir le lien !  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 193359991 Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 283284545 
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 01:51

Bienvenue sur PoO !

Une future camarade nightingale ça promet Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3986957719

Je te souhaite bon courage pour ta fiche et te rappelle qu'en cas de question nous sommes toujours disponibles via mp ou via le FAQ dans la partie invité Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 836523474
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 01:53

Yeah, un autre ami Dauntless et en plus Nightingale !  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 193359991 Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 283284545 
Merci, en tout cas, je n'hésiterai pas à vous ennuyer, surtout un petit Belge comme moi.  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 2042087930  Comment ça je peux aussi demander de l'aide aux autres membres du staff même s'ils ne sont pas compatriotes ? Je le sais ! èé  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 1348085411 
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 01:57

Juste qu'on soit clair, je suis français hein Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 392886545 du sud de la France même, je fais juste mes études à Bruxelles Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3986957719
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 02:01

Ah ! C'est parce que à Bruxelles, on est super accueillants !  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 283284545 
Mais gosh, du coup, faudra que je te harcèle un jour vu que je suis moi-même de Bruxelles !  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3677991489 Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 193359991 
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 02:12

Ake bienvenue sur le forum future équipière Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 3954727582

Bon courage pour ta fiche (déjà bien avancée) Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 2695598136
Si tu as la moindre question, surtout n'hésite pas à contacter le Staff, on est là pour ça Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 193359991
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MessageSujet: Re: Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras Empty13/7/2014, 02:18

Merci beaucoup cher Dauntless et j'espère futur collègue !  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 193359991 
The classe ton avatar mais en fait, comme tous les Dauntless, isn't it ?  Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 283284545 Sineád Fawkes ø La vie est une chienne mais il y a pire que la mort ; la lâcheté de baisser les bras 392886545 
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Félicitations !


« Bon choix, très bon choix ! Rejoindre les rangs des Audacieux est une très bonne idée pour toute personne n'ayant pas peur de prendre des risques. Nous faisons face au danger et nous allons t'enseigner à faire de même. Durant ton Initiation tu auras à affronter tes peurs pour prouver que tu es digne de rejoindre nos rangs. J'attends beaucoup de toi, il est difficile de se faire une place chez les Audacieux, mais une fois que celle-ci est faite, nous sommes une vraie famille. Et garde à l'esprit que l'absence de peur est la mère de tout succès. »

Ta fiche remplit l'ensemble de nos critères ! Tu es donc maintenant un membre à part entière de Prism of Obedience et de ta faction ! Mais ce n'est pas encore la fin du chemin pour toi.

Afin d'être tout à fait prêt pour commencer ton aventure tu peux commencer par ouvrir une fiche de lien qui te permettra de développer la vie sociale de ton personnage, ainsi qu'un topic à RP qui organisera la vie rpgique de ton personnage. Enfin et pour aider tes administrateurs dévoués tu pourras compléter les registres sur les métiers ainsi que celui des initiés et enfin, si tu es concerné tu peux signaler ta divergence.

Bon jeu parmi nous !
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