C'est dingue que deux personnes si différentes puissent être si proches, je dois dire que la relation que j'entretenais avec mon frère m'a toujours étonnée. Mon frère, de 2 ans mon aîné, était quelqu'un de très joviale qui voyait toujours le meilleur côté des choses, jamais vous ne l'auriez vu avec un air triste ou même en train de pleurer. Il était ce genre de personne, qui lorsqu'elle est à vos côtés, embellit considérablement vos journées. Il était très ouvert et très sociale. Il était comme une partie de moi, mais vous savez, la meilleure partie. Moi c'était presque tout le contraire ; petite je restais souvent cloîtré dans ma chambre à lire et relire les quelques livres que j'avais ; on ne peut pas dire que j'étais timide, mais je ne parlais que lorsque je trouvais cela nécessaire et jamais je ne me serais laissé marcher dessus. Et le seul point commun que j'aurais pu avoir avec mon frère était le fait que je sois, moi aussi, quelqu'un d'assez souriante. Nous avons été élevés tous deux par nos deux parents ; mon père, banquier et ma mère, avocate, étaient un jeune couple vraiment amoureux. L'image de tous nos repas de familles où mes parents gardés leurs doigts entremêlés restera à jamais la définition de l'Amour -avec un grand A- pour moi. J'adorais cette image de la famille soudée que je pensais être. Chez nous, nous étions totalement dans l'esprit de notre faction ; nos parents tenaient absolument à nous éduquer ainsi, je pense désormais que c'était pour nous garder près d'eux après nos 18 ans -nous n'aurions eu que cette manière de vivre et à coup sûr nous n'aurions pas pu changer, du moins c'était ce qu'ils pensaient-. Nous nous disions toujours ce que nous pensions les uns des autres afin d'éviter le maximum de conflits, nous devions les accepter pour ne pas créer de conflits inutiles. A ce moment avec mon frère nous adorions nous échanger des regards moqueurs ou bien se donner des coups sous la table à manger, ce qui exaspérait nos parents qui nous disaient que nous étions ''immature'' lors de nos réunions hebdomadaires. A partir d'un certain âge, avec son frère nous avions décidé d'installer un jeu entre nous : mentir. Pour certains ça peut paraître simple, mais pour nous, les Sincères, c'était une des pires choses que nous pouvions faire au sein de notre faction. C'était ça que nous adorions : braver l'Interdit. Bien sûr nous ne mentions pas sur des grosses choses, c'était des choses infimes, comme dire un mensonge pour rendre nos parents fiers de nous et chaque jour nous comptions le nombre de mensonges que nous avions dit de la journée et le faisait le compte à la fin de la semaine pour déclarer le vainqueur. Nous adorions notre jeu, mais au fur et à mesure des années qui passaient, nous donnions moins d'importance à ce jeu, mais les mensonges qui étaient moins réguliers devenaient plus gros -nous volions les dossiers à maman et lorsqu'elle nous demandait si c'était nous, nous répondions non avant de remettre le dossier quelques jours plus tard à un autre endroit-. Pour rien au monde nous aurions arrêté ce jeu, il faisait partie de nous, de notre relation.

Ma vie était une des plus banales, rien de très important à raconter jusqu'à l'année de mes 16 ans. Cette année-là, mon frère en avait 18 et vous savez ce que cela veut dire : décider de rester ou de partir. Je me souviens de ce jour où j'étais dans ma chambre à parcourir mes bouquins, mon frère rentrant de son test d'aptitude, débarqua comme un boulet de canon dans ma chambre ; j'eus à peine le temps de ranger mon bouquin sous mon lit que mon frère se trouva en face de moi. « J'ai vu ton livre Allie, je ne te jugerais pas et tu le sais. » dit-il avec son sourire chaleureux. Je ne pus m'empêcher de sourire à mon tour avant de lui poser des milliers de questions sur ce test que je passais dans seulement deux ans. J'angoissais à cette idée, j'avais peur de ne pas être faite pour rester dans ma faction, de devoir partir loin de mon frère s'il restait avec nous. J'ai toujours su que nous étions fait pour être des Sincères, malgré notre jeu nous étions des personnes assez franche, ce n'était qu'un jeu après tout. Le soir même, la veille de son choix, nous avions passé beaucoup de temps ensemble dans la peur de ne jamais se revoir, mon frère ne voulait pas que je vienne à cette cérémonie et je respectais son choix même si ça ne me plaisait pas. Alors, avant de dormir je partis lui faire un câlin en laissant couler quelques larmes parce que je n'étais pas bête, je savais pourquoi il ne voulait pas de ma présence lors de son choix et ma crainte se confirma le lendemain matin. Mon livre se trouvait à côté au pied de mon lit. Bizarre. Je les rangeais toujours, toujours sous mon lit. Je l'ouvris et sur la première page quelqu'un avait gribouillé un texte. « Alli, je sais que tu pensais que j'allais m'en aller et sache que je n'ai jamais voulu te laisser, c'est la pire décision que j'ai pu prendre. Mais j'ai envie d'être heureux et je sais que tu le respecteras. Quand papa et maman rentreront, évite-les, car ils diront des choses sur moi qui ne te plairont pas et je ne veux pas que tu crées une dispute inutile. Notre jeu nous manqueront, oublie jamais que je t'aime. Ton frère fraternel qui t'aime. » Les fraternels étaient autant détestés que les altruistes chez nous. Nos parents nous avaient élevés dans la haine envers ces factions et je les détestais, du moins je le pensais. Les altruistes je ne les aime pas, bon d'accord, mais les fraternels... C'est comme détester mon propre frère, cette faction fait comme partie de moi. Je ne crois pas à cette phrase mythique « Faction before Blood », je ferai toujours passer mon frère avant ma faction. Mais mon avis sur tout cela et celui de mes parents allaient bien être contradictoires. Cette journée brisa quelque chose dans ma famille, je n'approuvais pas le fait que mes parents ne respectent pas le choix de mon frère. Qu'il soit allé avec les fraternels ou les audacieux auraient été la même chose, mais pour mes parents non. Ils ont prononcé la pire phrase qu'un parent puisse dire : je ne considérerai plus jamais ce gamin comme mon fils. Cette phrase me fit l'effet d'un couteau en plein cœur ; ma famille que je trouvais si parfaite n'était rien de tout ça, ce n'était qu'une illusion qui cachait la vérité si affolante. Je passais le moins de temps possible avec mes parents, je disais à ma mère que je n'avais pas faim pour ne pas être avec eux à table avant de passer ma nuit à manger tout ce que je trouvais. Une semaine plus tard ma mère cessa de m'appeler pour manger et ce j'avais que ce n'était pas normal, alors je partis discrètement voir ce qui se passé mais je ne trouvais personne à part mon père au salon. J'appelais ma mère dans toute la maison, mais elle ne me répondit pas et cela ne semblait pas inquiéter mon père qui me disait que ma mère était partie travailler. J'ai passé exactement 26h dans le salon à attendre le retour de ma mère qui ne rentra jamais. Je savais à quoi m'en tenir ; elle ne reviendrait jamais.


Cela faisait deux ans que ma mère est partie, depuis tout ce temps je n'ai pas eu de nouvelles, même pas un signe de rien, le néon total. Lorsque j'ai réalisé qu'elle ne reviendrait plus j'ai longtemps pleuré, je trouvais que c'était de ma faute, que c'était moi qui avais créé cette dispute inutile que ma famille redoutait et voilà les conséquences. Je me retrouvais désormais seule avec mon père, au départ je redoutais les conflits que cela allait créer entre nous, mais j'étais loin de me douter de ce qui allait se passer : se retrouvant désormais seuls, nous avions liés une tout autre relation, nous nous entendions tellement bien. On se parlait comme des véritables sincères, nous avions remis en place nos réunions hebdomadaire et nous avions décidé de ne plus parler des autres membres de cette famille puisque l'on ne voulait pas souffrir davantage.
Je n'ai jamais avoué à mon père être retournée voir mon frère dans sa nouvelle faction. J'avais marché jusqu'à l'endroit où se trouvait les fraternels dans l'espoir de le revoir, je voulais lui parler du fait que maman était parti, comment c'était passé la soirée après son départ, mais je voulais surtout le voir, car il me manquait horriblement. Lorsque je le trouvais enfin, il m'emmena dans un autre endroit où nous avions pu parler tranquillement. Je ne l'avais jamais vu si souriant, il était vraiment heureux ici et je ne pourrais jamais haïr les fraternels d'avoir rendus mon frère tellement heureux. J'expliquais alors à mon frère tout ce qui s'était passé avec maman et papa et quel point il me manquait. Depuis ce moment je retourne le voir une fois par mois même si je souhaiterais y aller plus souvent, mais ça paraîtra trop bizarre et je risque d'avoir des ennuis, puis ça me permet de mentir à mon père et aux autres personnes qui me demandent où je vais -comme au bon vieux temps avec mon frère-.
Cette année j'allais devoir, à mon tour, faire Le choix. Rester ou partir. Le jour où je passais enfin le test d'aptitude que je redoutais tant, je m'attendais à avoir comme résultat sincère ou bien érudit (ce qui me semblerait normal vu ma fascination pour tout ce qui a un rapport avec les sciences, le savoir ou les livres), mais je ne m'attendais pas à avoir des aptitudes pour ces deux factions. J'étais divergente et ça me faisait assez peur. Je voulais avant tout avoir des aptitudes que pour une seule et unique faction, j'aurais alors pu choisir entre rejoindre cette faction ou rester où je suis, ou tout simplement cela aurait pu accentuer ma volonté de vouloir rester chez les sincères. Je voulais avoir un choix simple, je ne voulais pas me tracasser des heures dans le noir pour la décision qui changera ma vie à tout jamais. Je pris le chemin le plus long pour rentrer chez moi, pour pouvoir réfléchir et voulant me mettre la pression de l'importance de ce choix, je décidais de passer -assez long tout de même- de l'endroit où vive les sans-factions. Je voulais réussir mon initiation et devenir membre à part entière d'une faction, pas devenir comme ces personnes. J'avais choisi d'être à cet endroit pour me mettre une légère pression, mais je ne m'attendais pas à voir ma mère, celle qui m'a porté et élevé parmi eux. Elle n'avait plus ses vêtements de Sincère, elle portait des vêtements de différentes factions et son visage qui étant si beau, si jeune étant devenu un visage fatigué qui montrait la dure vie qu'elle menait désormais. Je restais figé en la fixant dans l'espoir qu'elle me voie. Elle se retourna lentement et je pus lire sur ses lèvres qu'elle prononçait mon prénom suivi d'un ''je suis désolé''. Je partis immédiatement en courant, laissant mes larmes couler le long de mes joues. Dire que j'avais crus qu'elle était peut-être morte, loin de moi, mais elle était en réalité proche de chez moi, de chez nous et elle avait choisi de m'abandonner. Elle le voulait et ça me tue. Mais au moins grâce à cette scène, j'ai pu choisir la faction dans laquelle je souhaite passer le restant de mes jours. Le fait de voir que ma mère a choisi de m'abandonner me rend folle, ça me fait tellement de mal de savoir que ma mère, qui a voulu de moi, m'a vu grandir, a choisi de partir comme ça, sans rien me dire, c'est exactement la même situation pour un père et son enfant de 18 ans qui doit choisir sa faction et je ne veux pas faire la même chose à mon père. Alors, je vais rester, puis ce n'est pas de la torture, je suis dans mon élément ici, je ne veux pas vivre d'une autre manière que celle que mes parents ont choisi pour moi et mon frère. Mon père allait tellement être heureux de savoir que je reste avec lui.

L'initiation commença mal, vraiment. Je pensais qu'en étant une native sincère tout ça serait simple pour moi, mais la première étape ne l'était pas. Reconnaitre le mensonge était plus dur que prévu, je me débrouillais assez bien, mais pas assez pour une Sincère ; je n'étais pas dans les premières, mais plutôt vers la fin. Je ne veux pas rejoindre ma mère chez les sans-factions. La seconde étape fut la meilleure, je n'ai jamais autant aimé mon éducation qu'à ce moment, c'était presque comme nos réunions hebdomadaires que l'on faisait avec ma famille avant que mon frère parte rejoindre les fraternels. Grâce à cette étape j'ai pu remonter dans le classement.
La troisième phase était la plus effrayante pour moi et à cet instant j'ai regretté d'avoir choisi la faction de la sincérité. Au départ j'appréhendais ce moment, car je ne voulais en révéler en rien le fait que je trahisse ma faction pour voir mon frère, membre des fraternels, faction détestée des sincères, ou bien le fait que j'ai vu ma mère désormais sans-factions. Si toute la communauté savait ça, elle ne voudrait pas de moi et je devrais rejoindre ma mère. Je voulais porter du noir et du blanc à jamais, je voulais devenir une sincère. Au moment où l'on m'injecta le sérum, je m'attendais à vouloir dire 10 millions de choses en même temps, mais ce fus tout le contraire. Rien ne se passa et ce n'était pas normal. Les personnes qui étaient passées avant moi avaient commencé à faire leur monologue quelques secondes après l'injection, ce qui n'était pas mon cas. J'étais inchangé et je devais agir rapidement pour que personne ne voie que le sérum ne me faisait aucun effet. Je mettais ça sur le compte de ma divergence puisque c'était ce qui me différencié des autres initiés -à ma connaissance- et cette différence me donnait un avantage : je pouvais dire tout ce qui m'arrangeais pour être intégré dans la communauté et ça me plaisait d'être comme invulnérable au sérum de ma future faction.
La situation était en ma faveur, j'étais la seule à la contrôler même si personne ne le savait. Pour être intégré après cette dernière phase, j'ai parlé de ma rage sans limite pour les fraternels et les altruistes, que je ne considérais plus mon frère comme tel après cette trahison, d'avoir choisi une faction ennemie. Je leur ai dit tout ce que la communauté voulait entendre, mais je savais que je devais marquer le coup avec une énorme ''vérité'', j'ai alors dit qu'après la trahison de mon frère et ma mère j'ai essayé de me suicider et que j'ai menti à tout le monde sur mes cicatrices. Je trouvais mettre bien débrouiller. J'aimais ce cours sentiment de puissance que m'a procuré cette étape, le fait d'être la seule à connaitre la vérité et de pouvoir la gérer. Tant de mensonges m'excité à l'idée d'intégrer cette faction.

J'ai fini première à mon initiation. Première. Je voulais être haut classé étant une native sincère, mais je ne m'attendais pas à être première -je ne vais pas me plaindre tout de même- et je m'étais ma réussite sur le fait d'être divergente et de pouvoir mentir face aux seuls moyens de connaître la vérité tels que les sérums. J'aimais ça. Je pourrais donc mentir pour tout et n'importe quoi si ça me plaisait puisqu'aucune personne ne pourrait savoir la pure vérité même avec un sérum de vérité, mais il y avait des conséquences assez effrayantes. J'aimais ce sentiment de puissance, de devenir la petite menteuse des Sincères, mais être dans la faction de la vérité était tout de même risqué puis surtout ma résistance face au sérum, menant à ma divergence, peut se voir immédiatement si je ne fais pas attention, alors évidemment je vais devoir apprendre quelques temps à vivre naturellement avec avant de m'en servir pour mon plaisir. Je devrais apprendre à manier mon langage corporel, mes paroles que je devrais maîtriser parfaitement afin de rester cacher dans la faction des détecteurs de mensonges et le mieux pour les quelques années à venir serait d'être avocate. J'ai donc vu, pendant 3 ans comment tourné la justice au sein de la faction, j'ai appris tout ce dont j'avais besoin pour vivre sereinement avec mes petits mensonges -langage corporelle, paroles, cacher ses émotions, gérer les détecteurs de mensonges-, mais n'allait pas croire que pendant trois ans je n'ai pas raconté un mensonge. Evidemment lorsque j'en raconte un, je m'assure d'être la seule à connaitre la vérité, ce n'est plus un jeu comme avec mon frère, c'est ma vie désormais qui est en jeu ; je veux rester une sincère, progresser dans l'échelle sociale, pas devenir sans-factions ou devenir une détenue devant être jugé.
Je ne veux pas rester en bas de l'échelle, je veux monter et l'avantage que j'ai en ma possession me botte encore plus pour aller haut. J'ai longtemps cherché comment faire, j'ai cherché autour de notre leader sincère, Anthea Blake, pour me familiariser avec le haut de l'échelle sociale. On ne peut pas tout avoir un coup, je monterai doucement, mais surement. Je suis donc allé à sa rencontre, du moins à la rencontre d'un de ses employés, mais la chance fut qu'à cet instant elle fut dans le bureau avec cette personne. Voulant lui montrer ma détermination et que je n'ai pas peur des risques, je lui ai dit vouloir être son assistance personnelle -évidemment une personne vient vous voir de cette façon vous doutez un peu d'elle- alors je lui ai parlé de mon admiration pour elle (du moins j'ai parlé de tout ce que j'avais entendu de par mon père, qui adorait notre leader) et je lui ai parlé aussi du fait de vouloir me familiariser avec la politique de notre faction. J'essayais de paraître assez timide, qu'elle me sente comme une jeune femme qui ne pourrait jamais se monter contre elle, quelqu'un de manipulable et vulnérable. Je lui ai donné le plus de détails possibles sur moi -plus ou moins vrais- afin d'être quasiment sûr qu'elle me prenne après avoir virée son assistante actuelle (à voir la tête de cette dernière, elle aussi souhaitait changer très prochainement de travail, mais évidemment on ne va pas dire à la leader de notre faction qu'on a marre de devoir faire tout et n'importe quoi pour elle). Je voulais ce travail et je n'allais pas me décourager d'aussitôt. Après ma rencontre avec Anthea, je suis directement allé voir mon père pour lui expliquer ce qui venait de se produire. Mon père adorait notre leader sincère, sa vision de la justice et du gouvernement -qui devrait être dirigé par les sincères selon elle- était la même que mon père, il était vraiment d'accord avec elle. La nouvelle comme quoi je prévoyais de devenir son assistante personnelle lui esquissa un sourire que je n'avais jamais vu jusqu'ici sur son visage. Il me parla pendant de longues minutes d'elle et je pris note de chacune de ses paroles, au cas où je pourrais les ressortir devant notre leader afin de l'impressionner.
J'ai seulement attendu trois semaines avant d'être rappelé par Anthea, elle-même, pour me demander si je pouvais, dans la journée, me déplacer pour un entretien afin de devenir son assistante personnelle. L'entretien ne pouvait pas mieux se passer, j'étais prise et je commençais dans quelques jours mon nouveau travail. En plus d'être donc proche du leader de ma faction, j'ai désormais une protection qui s'offre à moi. J'ai tellement hâte de raconter tout ça à mon frère.

« Nous y voilà. Bienvenue chez les Sincères, je suppose. Tu as fait le meilleur choix, ce qui montre que tu n'es pas totalement idiot. Ton honnêteté envers la communauté et envers toi même a fait de toi un membre de notre faction. D'entre tous je suis la plus franche, j'espère que tu ne nous décevras pas. Ton choix est noble car il est le reflet de ta véritable nature. Comme nous le disons : La vérité n'est ni éphémère ni une question de point de vue. »

Ta fiche remplit l'ensemble de nos critères ! Tu es donc maintenant un membre à part entière de Prism of Obedience et de ta faction ! Mais ce n'est pas encore la fin du chemin pour toi.

Afin d'être tout à fait prêt pour commencer ton aventure tu peux commencer par faire recenser ton avatar puis ouvrir une fiche de lien qui te permettra de développer la vie sociale de ton personnage, ainsi qu'un topic à RP qui organisera la vie rpgique de ton personnage. Enfin et pour aider tes administrateurs dévoués tu pourras compléter les registres sur les métiers ainsi que celui des initiés et enfin, si tu es concerné tu peux signaler ta divergence.

Bon jeu parmi nous !